 Un local bondé de gamins et petites filles confirme l'immense utilité de l'endroit. On est mercredi et c'est le goûter de Noël. Pourtant, il semble évident qu'aussi peu d'adultes pour autant d'enfants ne constitue pas les conditions idéales à ce qui, normalement, est un accompagnement scolaire. Outre ceux qui figurent sur les photos - dont deux stagiaires qui ne restent que le temps de leur ... stage - , on trouve aussi Jean, retraité du collège St Louis et Paolo. Cela fait à peine 2 adultes par jour. L'arrivée de bénévoles est donc urgente, et puisque cette maison Inter-Gé répond à une demande répétée du comité de quartier, on voudrait croire qu'au-delà de la demande, on trouverait sur le quartier des adultes décidés à s'y investir aussi. 2h càd une présence/semaine suffisent pour dépanner ou soulager le boulot des animateurs actuels. Venez-voir et essayez !
Evariste est le responsable, puisque notre activité est désormais reconnue dans le cadre des "Ecoles de Devoirs" officielles. Cela lui permet aussi de jouir de formations spécifiques à sa fonction, bien utiles quand on voit le nombre d'enfants présents.
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| Quand j'entre, chaque enfant est affairé, à table ou par terre si l'ampleur de la tâche l'exige : on dessine, on colorie, on construit, on lance le dé ou avance les pions. Tout le monde est occupé, pas de paresseux ni d'oubliés dans son coin ;-) |
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| Des mamans ont collaboré à ce goûter festif avec des spécialités de leur pays d'origine, plaisirs complétés par quelques produits moins artisanaux et une grosse salade de fruits. |
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| Jacqueline Acmanne, du service Intergénérationnel de la Ville, qui anime plusieurs ateliers durant la semaine est également présente le mercredi après midi, pour les séances récréatives. Elle est ici secondée par Mounir, éducateur stagiaire du CPSE. On a ouvert l'armoire où on range livres, classeurs et ressources diverses. |
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| Les enfants n'ont pas seulement besoin d'explications en calcul ou en orthographe; l'attention et le sourire sont aussi essentiels pour se sentir bien. Ici avec Sylvie, stagiaire assistante sociale de l'ESAS. |
