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Certainement deux des acteurs le plus importants du dossier:
Michel Firket, Echevin de l'Urbanisme, négociateur et porteur du dossier au Collège et au Conseil
et Pierre Grivegnée, son interlocuteur pour Wilhelm&Co.
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Quelques membres du bureau du Comité de Quartier, l'APL, Association pour la Promotion du Longdoz,
A gauche, le président Serge Floëge.
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Sous la tente de plexi, sous les parasols ou devant le micro, d'autres acteurs politiques étaient présents. Comme Maggy Yerna, Echevine du commerce, qui a toujours vu dans le projet, une opportunité plutôt qu'une source de concurrence. Et le Ministre J.Cl. Marcourt, bien sûr, en charge notamment de l'économie à la RW. Dans son discours, il a souligné la spécificité du projet de cluster des technologies de l'audio-visuel, qui ferait de Liège la ville du cinéma, en complémentarité avec les autres métropoles du sillon Sambre et Meuse. Lui aussi a brassé les millions d'euros investis, les milliers de visiteurs attendus, les centaines d'emplois espérés.
Enfin, l'ensemble de la cérémonie était présentée par une victime pas rancunière du "plan Magellan", Jacques Bredael, souriant et efficace comme autrefois.
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Au milieu de ce monde des affaires, une figure académique, Madame la professeure Bernadette Merenne. Directrice de deux labos de géographie économique, elle a effectué les enquêtes préalable au P.U. sur la viabilité du projet et son insertion dans le tissu commercial existant |
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Même sans ses renommées lunettes blanches, on le reconnait, Philippe Reynaert, Monsieur Wallimage. Lui aussi soutient évidemment tout le volet audio-visuel et se réjouit de ce nouvel outil qui permettra de faire connaître la ville, de démultiplier les réalisations et les collaborations. Il a même parlé de Liège comme d'un Hollywood wallon ! |
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On terminera ce panorama en images avec une partie de l'équipe du commissariat de la 7e division en grand uniforme. On ne peut pas dire que la vie soit toujours rose au Longdoz, entre tags, bagarres nocturnes, dépôts clandestins, marchands de sommeil et deals de toutes sortes. Lorsqu'ils viennent, régulièrement, au comité de quartier, c'est pour s'entendre dire que "la police ne fait rien". On se réjouit donc que ce midi-là, le commissaire et ses adjoints ne cherchaient pas à faire passer à table un petit malfrat, mais hésitaient entre quelques jolies verrines de fruits de mer, fromage blanc aux fines herbes ou purée d'avocat... Une sorte d'acompte sur l'avenir car il n'est pas certain que leur tâche sera allégée avec la Médiacité. |
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